Un guide sur la coparentalité à l'ère numérique
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Cet article est une série de petits conseils, fournis par l'incroyable Melissa Griffin, plus connue sous le nom de HR Mom. Melissa suit la voie de la coparentalité et propose ses idées aux familles qui se trouvent dans cette situation souvent difficile.

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Fais-le pour les enfants.
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En matière de gestion de la technologie, il est important de trouver le plus de cohérence possible, en particulier dans une situation de coparentalité. Si l'un des parents restreint l'accès et l'utilisation de la technologie et que l'autre autorise un buffet technologique à volonté, un enfant peut vivre dans un cycle continu de dépendance et de sevrage lorsqu'il passe d'un foyer à l'autre.

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Concentrez-vous sur VOTRE maison.
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Aussi difficile que cela puisse être, les parents devraient éviter de discuter avec leurs enfants des raisons pour lesquelles certaines choses sont autorisées chez l'autre parent. Les enfants qui font des allers-retours entre les maisons apprennent à manipuler. Si on leur demande, les parents peuvent répondre en disant : « Nous n'avons pas les mêmes règles sur de nombreux sujets. Et ce n'est pas grave. »

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Partagez vos préoccupations spécifiques avec votre ex.
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Prenez le temps d'expliquer calmement vos plus grandes craintes à votre coparent en matière de technologie. Votre plus grande inquiétude est-elle l'exposition à du contenu pornographique et sexuel ? Est-ce que ce sont les effets des réseaux sociaux sur l'estime de soi de votre enfant ? S'agit-il d'une exposition à des prédateurs en ligne lorsque les écrans sont utilisés la nuit ? Écoutez ensuite LEURS préoccupations les plus courantes en matière d'utilisation de la technologie.

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Les coparents seront plus disposés à faire des compromis lorsqu'ils se rendront compte qu'il ne s'agit pas de garder le contrôle, mais de répondre aux préoccupations spécifiques des deux parents concernant le bien-être de leurs enfants.

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Consultez avant de donner un nouvel appareil à votre enfant.
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Informez votre coparent bien avant l'achat d'une technologie. Cela laisse le temps de régler les détails en coulisse : directives générales sur l'utilisation, si l'appareil sera transporté dans les deux foyers, etc. Cela évite aux enfants d'avoir des « appareils secrets » dont l'un des parents ne connaît pas l'existence, et cela montre clairement que leurs parents sont sur la même longueur d'onde. Cela vaut également pour les grands-parents et les autres membres de la famille.

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Vous pouvez limiter les appareils, mais pas l'accès.
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Si votre enfant reçoit un appareil d'un coparent que vous ne souhaitez pas qu'il ait chez vous, vous avez parfaitement le droit de le garder en lieu sûr au début de la visite et de le rendre à l'enfant au moment de l'échange de garde. Si tel est le cas, assurez-vous de donner suffisamment de possibilités à l'enfant d'avoir librement accès à son autre parent à l'aide de l'un de vos appareils.

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Identifiez et respectez les « facteurs décisifs » en matière de coparentalité.
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N'oubliez pas qu'ils ne peuvent pas tous être déterminants. Il est extrêmement rare que les coparents soient d'accord sur TOUS les aspects de l'utilisation de la technologie, alors soyez prêts à faire des compromis. Si Snapchat est un NON absolu pour vous, dites-le clairement ; mais soyez prêt à céder lorsque votre coparent souhaite assouplir les restrictions concernant les heures de coucher tardives ou autoriser des jeux vidéo plus violents, par exemple.

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Partagez les responsabilités en matière de surveillance (si possible).
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Si l'un des parents est plus féru de technologie, il peut accepter de configurer et d'aider à dépanner le logiciel de surveillance sur les appareils des deux foyers. Si les deux parents s'engagent à limiter la pornographie et le contenu sexuel, Covenant Eyes peut être installé sur les appareils des deux maisons. Les coparents peuvent tous deux recevoir des rapports sur des activités préoccupantes. Les parents peuvent s'assurer qu'ils ont tous deux accès aux identifiants et aux mots de passe des enfants pour les applications et acceptent tous deux de vérifier régulièrement.

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Certains coparents choisissent de partager les coûts des logiciels de surveillance, sachant que la sécurité des enfants doit passer avant tout et que cette tranquillité d'esprit n'a pas de prix.

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Consultez AVANT de promulguer des restrictions.
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Si un parent souhaite limiter le temps passé devant un écran par un enfant chez l'autre parent (exemple : « Vous n'avez plus accès à votre téléphone pendant le week-end »), il doit d'ABORD parler à l'autre parent pour s'assurer qu'il est prêt à le soutenir. Ils devraient éviter de faire des suppositions, de formuler des exigences ou de fixer des règles qu'ils ne peuvent pas appliquer pendant que l'enfant est avec l'autre parent. Les voies de communication coparentales doivent être ouvertes pour qu'une telle conséquence soit couronnée de succès.

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Faites participer vos enfants dans la mesure du possible.
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Les enfants sont presque toujours plus disposés à respecter les règles qu'ils ont contribué à créer. Les allers-retours entre les maisons sont difficiles. Les enfants ont souvent l'impression qu'ils n'ont aucun contrôle, que quelqu'un d'autre dicte toujours ce qui se passe et quand. Cela est particulièrement fréquent en cas de divorce. Donner aux enfants une certaine marge de manœuvre dans les règles technologiques dans la mesure du possible les encouragera à respecter ces règles.

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Respectez la confidentialité en matière de dispositifs de suivi
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Dans l'intérêt de la sécurité de ses enfants, un parent peut souhaiter suivre la position de ses enfants via des applications telles que Life 360 ou xxx. Ce suivi se poursuit souvent même lorsque les enfants sont avec leur coparent. Ce suivi permet essentiellement à un parent de savoir où se trouve un ex-conjoint lors de sa visite. Cela peut être considéré comme une atteinte à la vie privée. Il est important d'être honnête avec votre coparent et de le divulguer lorsque vous suivez votre enfant au moyen de son appareil électronique. Un coparent peut préférer désactiver ce suivi lors de ses visites. Bien qu'il soit difficile de renoncer à ce contrôle, il appartient à chaque parent de décider de la manière dont il entend assurer la sécurité des enfants pendant qu'il a la garde de ses enfants. (Lorsque les adolescents commencent à conduire, de nombreux coparents acceptent d'activer le suivi à tout moment, les DEUX parents ayant accès à leur localisation en cas d'urgence.)

Et si j'ai d'autres questions ? Comment puis-je me tenir au courant ?

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Deux mesures que vous pouvez prendre !

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